Histoires

La Chute d’Albuzar

[Bonsoir, ou Bonjour, à tous et à toutes. Aujourd’hui je vous poste le « Rôle-Play », non terminé, que j’avais écris pour rejoindre un autre serveur Minecraft. Si je me trompe pas, il doit dans les 1 ans. Bonne lecture !]

Wolfies est un natif des plaines lointaines d’Albuzar où il y a grandit avec sa famille jusqu’au « Jour Rouge » alors qu’il n’avait que 14 ans. Il descend d’une famille de bucherons où l’on ne vivait que des poulets trouvés sur la route ainsi que du bois récolté pour rénover la hutte lors des grandes averses ou des grands froids. Telle était la philosophie de cette endroit, s’auto-satisfaire pour ne pas avoir de problèmes avec les autres villes.
Sans que les dirigeants le sachent, le campement où se trouve cette tribu était placé juste au dessus d’une mine riche en diverse minerais. Alors que le chef daigne écouter les discours des grandes villes, les habitants semblaient vivre dans un bonheur éphémère, comme vivait le Berserker avant que l’on ne tue toute sa famille, ou devrais je dire le grand RolexSweep ? Mais cela,  est une tout autre histoire.

Alors que la Lune se sentait éternellement seul dans ce ciel qui passait du bleu marine au bleu ciel, une boule de feu s’abattit sur la hutte du conteur, cuisinier ainsi que chasseur, puis suivirent des vagues de boules de feu qui limitèrent les voies de sortie ainsi qu’à la Grotte à Chasseur, notre caserne. La panique se lisait sur les visages des mères de famille qui tentait de cacher leurs enfants ou de les lancer par-dessus les flammes. Un cri assourdissant retentit.
Des hommes orné de cuire visèrent le ciel.
Quel beaux temps, le soleil commençait à se lever et qui semblait danser grâce à son halo coloré des mille couleurs, le ciel si bleu que l’on croirait à une peinture. Une minuscule ombre. Une deuxième ombre de dix centimètres de long. Puis une troisième ainsi qu’une quatrième, jusqu’à formé une ombre gigantesque. Les archers avaient visé avec perfection, décimant la majorité de la population adverse avec une seule vague.
Les soldats furent sans pitié avec les survivants. Ils violèrent les jeunes femmes ainsi que les vieilles filles, tandis qu’ils jetaient dans un puits sans fond ceux qu’ils trouvaient trop vieilles. Puis ils les tuèrent où ils les mirent dans une cage, qu’ils nommaient « Donjon », avec écrit au dessus «Putains ». Ils prirent les  jeunes hommes musclés en faisant des exceptions pour les vieux qui avaient de bons restes, qu’ils utiliseraient surement pour les tâches ingrates comme l’agriculture où encore maçon pour le palais du Roi, comme on le nommait.
Pendant ce temps, le chef, qui avait son visage caché par une sorte de casque de textile accroché à son haut bleu, avançait vers la Hutte la plus grande et la plus voyante de toutes, c’est-à-dire la Hutte du représentant de la minorité. Il était suivi, sur sa droite, d’un homme musclé vêtu d’un lourd veston noir avec des bandes blanches qui faisait le tour de ses épaules. Ses rides laissaient penser que c’était un général de guerre très peu souriant mais qui sait se faire respecter. Le troisième avait des allures de fou et n’arrêtait pas de chuchotait des choses à peine audible ainsi que de gesticulait comme si des insectes ou des SilverFish lui avait sauté dessus. La seule chose qu’il n’arrêtait pas de dire était « Foutu Soleil » ou encore « C’est la mort qui tape à ta porte, ne la  nie pas où elle te tuera ». L’homme qui était en tête frappa la tête d’un homme rampant, un cou précis sur la nuque avec le haut de son pied. Il tira une femme, plutôt bien privilégié pour faire tomber fou le plus vieux et le plus puissant d’un petit camp,  vers l’arrière. L’homme au Veston l’attrapa et la pris sur son épaule sans aucune difficulté, alors que la femme tentait en vain de sortir de l’emprise d’un homme à la taille d’un Enderman et la carrure d’une montagne, et repartit par le chemin par lequel il était rentré tout en prenant un poulet qui était entrain de rôtir de sa main libre. Obisam, selon les cris des soldats vainqueurs, continua sa route dans la grande hutte. Lorsqu’il arriva à un homme vieux et frêle, il regarda son camarade à sa gauche. Ce dernier tourna le pouce vers le bas tout en arborant un sourire des plus froids. Obisam sortit une épée d’un bleu clair, tâtonnât le corps du vieux jusqu’à pénétrait sa chair chaude et moelleuse avec un coup précis et sec entre les 2 côtes. Le chef du peuple décimé cracha du sang mais ne mourût pas. Il souffrait le martyr mais ne le montrait pas. Pris de colère par cet excès de dignité, Obisam lui trancha la tête et  hurla un cri si puissant que les rires de son assistant s’arrêtèrent instantanément ainsi que le chahut de ses soldats. Tout était calme, les Ocelot arrêtait de gémir, les Loups arrêtaient d’aboyer, les Creepers n’explosèrent pas, les Araignées tombèrent de leurs abris, les Endermans n’osait plus se téléporter de peur d’être découvert. Tout était extrêmement calme. Les minorités environnantes entendirent ce cri et appelèrent ce jour le « Jour Rouge » dut aux témoignages d’un homme qui avait été témoin de toutes les actions terribles alors qu’il était partit pêcher à l’aube.

Le petit Wolf avait pris une flèche dans l’épaule et c’était évanoui après une hémorragie qui s’arrêtât grâce à une feuille qui avait recouvert la plaie après qu’un soldat reprenne la flèche.
Il hérita de ce nom suite à l’aide précieuse qu’il avait apporté hors du camp, un villageois qui c’était égaré et qui était pris de poursuite par deux loups. Il sortit son arc soigneusement taillé par son père et atteignit le premier au pied et le deuxième sur le flanc gauche. Après avoir sauvé son voisin, il ramena le loup blessé et l’amena à la grande prêtresse qui retira la flèche et soigna la petite bête. Après cette nuit, il l’apprivoisa et l’emmena à chaque escapade hors du camp jusqu’à ce qu’il meurt  d’une attaque de Silverfishs.
A son réveil, il se trouvait dans une chambre en bois. Elle était spacieuse malgré les  moisissures qui commençaient à avoir raison sur le faible toit. Des bougies l’entouraient ainsi qu’un bol de sang. Mais où était-il ? Aucune hutte ne ressemblait à celle là dans son camp. La dernière chose dont il se rappelait était un deuxième soleil brulant qui s’abattait sur la maison du conteur.
« Bien sur ! Ils avaient attaqué son petit hameau sans défense. Mais Pourquoi ? »
Il ne trouva pas la réponse. Il voulut se lever, mais la douleur lui foudroya sa poitrine ainsi que tout le bras gauche. Suite aux gémissements de l’enfant, un homme, qui paraissait 25 mais n’en avait que 18, venu à son chevet et lui appliqua un torchon mouillé sur son front.
L’homme lui expliqua les rumeurs de la guerre entre le Roi et « Le Bâtard », c’est ainsi que les hommes « civilisés » nommé son représentant. Il lui expliqua aussi qu’un soir, alors qu’il s’apprêtait à Diner, quelqu’un toqua à la porte. Lorsqu’il ouvrit la porte, il trouva le jeune homme blessé au pied de sa porte avec un mot sur sa poitrine « Occupez vous en, Ou il en Mourra. R. »

Le jeune homme resta 2 semaines chez Flynn, son sauveur. Il le rééduqua, lui rapprit à tirer à l’arc, maitriser une épée, et l’utilisa même pour l’agriculture dans son jardin entretenue de 10×05 cubes. Il apprit à fermer en étant utile et faisant plus de bénéfice, appris qu’il y avait autre chose que la hache en bois ou en encore la rare hache en cobblestone de sa tribu, il apprit aussi à survivre en pleine nature. Il fit connaissance avec Flynn, qui fut exilé du capital pour avoir aidé un ami à son travail sans avoir demandé l’autorisation au Roi. Il lui restait quelques contacts ce qui lui permettait de rester au courant des faits diverses.
La Maison de Flynn était quelque peu normal, elle possédait 1 étage. La déco était minimaliste mais attirante, alors que l’architecture était un mélange entre une maison de survie et une maison citadine.
Flynn pris son cheval et acheta un Mi-Sauvage pour Wolfies. Ils étaient partis pour emmener Wolfies sous le toit d’un ami à Flynn.

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